Apocalypse, fin du monde: la science et la spiritualité s'accordent enfin !

La science et la spiritualité face à la Vérité Divine

La science et la spiritualité sont deux sœurs complémentaires qui ont longtemps eu du mal à s'accorder. Elles avancent parfois à différents pas et rythmes qui portent à croire qu'elles sont opposées alors qu'il n'en est rien. Au XVIIᵉ siècle, lorsque le mathématicien, physicien, astronome et géomètre Galileo Gallilei dit Galilée qui portait le flambeau de la science affirma que la terre était ronde, il fut tué le 8 janvier 1642 pour sa Vérité scientifique, car les connaissances des religieux de l'époque n'étaient pas à la hauteur des progrès de la science. Aujourd'hui, nous sommes tous unanimes que la terre est belle et bien ronde. Dans ce cas de figure, la science avait une longueur d'avance sur la spiritualité.

Il y a environ 2000 ans, ce fut l'inverse lorsque Jean prophétisa la fin du monde dans l'Apocalypse, de même que Jésus annonça auparavant les signes de la fin du monde en ces termes : « Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres..., des famines et des tremblements de terre...  Il s'élèvera de faux Christs et de faux prophètes; ils feront de grands prodiges et des miracles, au point de séduire, s'il était possible, même les élus. » (Matthieu 24, 5-24).

La science resta muette, dubitative face aux déclarations de Jean dans la mesure où les outils et les méthodes scientifiques ne pouvaient démontrer les assertions de ce dernier. En effet, près de 2000 ans en arrière, de quels instruments scientifiques disposaient les experts de l'époque pour prédire les catastrophes naturelles, les famines, les guerres interminables, les faux prophètes... ? Dans cet autre cas de figure, la spiritualité avait une bonne longueur d'avance sur la science. En conclusion, la science et la spiritualité sont deux sœurs jumelles qui se complètent dans l'enseignement de la Vérité Divine sur terre.

Les relations entre la science et la spiritualité

Au regard des progrès enregistrés dans la compréhension des phénomènes naturels et environnementaux, le rôle de la science ne souffre d‘aucune ambigüité au XXIème siècle. Cependant, ses relations avec d‘autres domaines tels que la spiritualité sont souvent controversées du fait des divergences d‘idée sur diverses questions.

La vraie science est celle qui donne à l‘homme les clés de la compréhension des lois qui régissent la nature afin de lui permettre de vivifier, d‘embraser, d‘embellir, de spiritualiser et de vivre en conformité avec son milieu de vie. Par conséquent, l’objet de la science n’est pas d’inventer des lois, car elle en est incapable, mais de les révéler et les expliciter aux hommes. Les lois de Dieu ont existé avant la création de l’Univers qui en découle.

En définitive, la vraie science et la vraie spiritualité s‘accordent, seuls les hommes s‘opposent. Les hommes s‘évertuent toujours à fixer les limites de leur science alors que la science a un champ d‘action universel.

La science et la découverte des lois de la nature

La science est une invention de l’homme, au service de l’homme, pour le bien de l’homme afin de lui permettre d’être le maître incontesté du monde. La science apparaît donc comme l’outil de base qui facilite la mise à nue et la compréhension des lois de la nature qui régissent l’Univers et en donne les clés de sa maîtrise, à travers les réalisations technologiques. Sans les prouesses de la science, il aurait été quasiment impossible à l’homme de se connaitre et comprendre à fond son milieu de vie immédiat et lointain. L’homme aurait longuement subi les forces de la nature au point de s’en lasser.

Une loi de la nature est une loi immuable qui contribue à décrire l’existence et l’organisation de l’ensemble de la Création, de l’Univers, partant du visible à l’invisible, de l’infiniment grand à l’infiniment petit, et à rappeler les Lois tangibles qui régissent son fonctionnement. La loi de la nature est, car elle échappe au génie humain dans sa conception et sa mise en œuvre. C’est elle qui régit toute chose du début jusqu’à la fin sans aucune possibilité de modification.

La science annonce la fin du monde

La science prédit la fin du monde en se basant sur la famine dans le monde qui sera déclenchée par le déclin de la biodiversité, des épidémies imprévisibles et incontrôlables, de gigantesques éruptions volcaniques, des méga-impacts de météorites géantes sur la terre, une guerre nucléaire généralisée, le réchauffement climatique, etc.

Concernant la perte de la biodiversité, un récent rapport de 1 800 pages rédigé par le groupe d'experts de l'ONU sur la biodiversité, dénommé IPBES (Plateforme Intergouvernementale Scientifique et Politique sur la Biodiversité et les Services Écosystémiques), atteste que 75 % de l'environnement terrestre contre 66 % du milieu marin sont dégradés par les activités humaines. En conséquence, sur 8 millions des espèces animales et végétales recensées sur Terre, un million sont menacées d’extinction à court ou moyen terme. Cette perte de la biodiversité engendrera la disparition des services écosystémiques nécessaires à la vie sur terre.

Une autre étude portant sur l'empreinte écologique (Global Footprint Network) atteste que la quantité de surface terrestre bioproductive (ou « biocapacité » de la Terre) nécessaire pour produire les biens et services que nous consommons et absorber les déchets que nous produisons sera de 2,5 en 2050 (www.encyclo-ecolo.com). Ce qui veut dire que dans 28 ans, l'humanité aura besoin de deux globes terrestres et demi pour vivre. Où allons-nous trouver cela? Que faire?

Toutes ces prédictions scientifiques s'accordent avec les prophéties de Jean dans l'Apocalypse. Même si les spécialistes calment le jeu pour dire que le pire peut être évité si des mesures d’urgence sont prises, il appartient aux enfants de Dieu de revoir leurs comportements, se repentir, chercher à mener une vie en Jésus-Christ afin d'être en phase avec les Dix Commandements et les Lois de Dieu, avant que le pire n’arrive, à l’image de Sodome et Gomorrhe, car « pour ce qui est du jour et de l'heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul.» (Matthieu 24 :36).

L’histoire se répète

Les mêmes causes produisent les mêmes effets : la Sainte Colère de Dieu est la plus proche de nous les êtres humains car les mêmes conditions qui précédèrent l’Arche de Noé sont réunies en ce moment sur terre. Le Seigneur Jésus-Christ avait déjà averti que « ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même à l'avènement du Fils de l'Homme » (Matthieu 24 :36). En effet, au temps de Noé « L'Eternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. L'Eternel se repentit d'avoir fait l'homme sur la terre, et il fut affligé en son cœur. Et l'Eternel dit: J'exterminerai de la face de la terre l'homme que j'ai créé, depuis l'homme jusqu'au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel... » (Genèse 6 : 5-7).

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AGA News - TIA Lazare

Source Ph. illustration: www.hiclipart.com